Les filles souhaitaient se reposer, circuler ‘sans but’ 😗..
Les Ramen 🍲
L’idée vint a Patricia de m’inscrire à un cour de Ramen. Nous voici donc en route pour un quartier proche de la gare de Kyoto, au Ramen Factory, qui organise des cours de cuisine..
En 1h30, j’ai donc appris à faire les nouilles, et le bouillon dans lequel plonger le poulet, ou porc, qui a préalablement lui même mijoté et cuit.. Toutes espèrent que je pourrais réitérer cette recette, appréciée par tous, à la maison 🍜 !
Transports à Kyoto
Retour au centre par le train, le même que celui pris hier.
Car en effet, contrairement a Tokyo ou même Osaka, il me semble que se déplacer à Kyoto, a moins que l’on veuille se rendre dans un endroit bien précis, n’est pas facile. Les transports sont assez mal organisés et cela limite les possibilités. Train, à peine deux lignes de métro, bus..tout ça organisé différemment. Il existe des tickets qui combinent bus et métro, mais ça reste assez compliqué à gérer. A Tokyo, par exemple, on pouvait sans problème a l’aide d’un pass, se promener et passer d’un quartier a l’autre, visiter la ville sans problème ! Ici, c’est beaucoup plus compliqué.
Voilà sans doute pourquoi, hormis les sites culturels, et autres sanctuaires, la plupart des quartiers ‘qui bougent’ restent dans un périmètre assez restreint : nous avons le quartier Gion, de l’autre côté du Kamo-Gawa, les bords du fleuve, la rue Pontocho et quelques ruelles proches, puis le centre délimité par Karusama-dori, Kawaramachi-dori, Sanjo-dori et Shijo-dori, grands boulevards rassemblant les magasins de marque, banques (actif la journée).. a l’intérieur desquelles se trouvent les rues piétonnes de Shinkyogoku et Teramachi et le Nishiki Market ouvert la journée.
Nous passerons donc le reste de l’ après midi à déambuler dans le centre de Kyoto.
Shinbashi-dori
Le soir, direction le petit pont de Tatsumi surplombant la rivière Shirakawa, vers Shinbashi-dori, dans le partie nord de Gion.. Ici seules les lanternes de papier éclairent les façades de ces maisons d’un autre temps, transformées en guest house ou cachant des restaurants établis entre l’ère Edo (1609-1868) et Meiji (1868-1912).
Pas toujours facile de comprendre les menus affichés, car pas de traduction, mais probablement le prix à payer pour conserver cette atmosphère. Il ne faut pas hésiter à entrer, au rez de chaussée ou aux étages de ces petites échoppes bordant le canal, à s’asseoir et à savourer le moment présent !
On ne peut vraiment pas se douter que l’on est a quelques centaines de mètres de l’agitation de Kyoto !